Pathologies De La Modernit Fin
Nouveaux mode de nouage du lien social, donc nouvelles formes de souffrances.
→ Perspective psychanalytique :
Rapport du lien social à la modernité et aux nouvelles formes expressives de la souffrance et du symptôme.
Le conflit qui sous-tend le lien social.
1) Introduction générale
Le conflit : Inscrit au cœur de l’humain et au cœur du lien social. Le conflit est le moteur constructif mais peut aussi déboucher sur une catastrophe tout dépend le lien que l’on établit avec lui.
Au cœur de l’être humain il y a qqch qui fait manque qui échappe, ce qui fait de chacun de nous un être divisé. Il ne manque pas de qqch de l’extérieur mais de lui-même il ne cesse d’essayer de le boucher par des objets pour posséder, pour saisir. Aucun objet ne peut prétendre combler ce manque.
→ Ce n’est pas un manque de l’avoir (illusion/ fantasme : quand j’aurais telle chose, impression de combler le manque par…) mais c’est un manque de l’être. Cependant l’illusion est importante et fondamental cela permet à chacun de se soutenir (pour éviter le morcellement). Donc nécessaire mais à condition que celle-là s’articule avec le symbolique pour éviter de s’enfermer dans qqch qui ne déboucherai plus sur de l’illusoire (psychose).
Est-ce que ma vie m’appartient ?
Ce qui me fait vivre et mourir en suis-je le propriétaire ? Oui mais seulement dans l’illusion.
Est-ce que je maitrise mon corps ?
Non car il obéirait à toutes les exigences il y a du réel dans le corps mais marqué par une dimension imaginaire/ symbolique : le langage qui dérègle l’harmonie de l’instinct et qqch de pulsionnel se met en œuvre et une part de jouissance perdue (cf. harmonie) rencontre corps et langage = choc et qqch d‘intraduisible qui va porter son empreinte dans le corps.
Rapport au réel conditionne la dépendance de l’aptitude à se soutenir dans le monde cela peut-être aussi du côté mortifiant tout dépend comment l’on s’inscrit dans ce rapport.
Est-ce