Paysage
-récurrence d’une désignation d’Anne peu varié
« Elle » « Anne Desbaresdes » « Madame » statut étiquette, niveau social
-désignation de Chauvin
« Lui » « l’homme » « Monsieur » « il » désignation elliptique, désignation pauvre mystère, anonymat, généralisation juste une rencontre n’importe qui.
↘Révélation distante, maladroit, bizarre, mystérieux. b. Le bar du port
-Mouvement sans arrêt
« La radio s’éleva en rafale » bruit de la radio + « un passage » mouvement des clients + « la patronne » patronne.
-Première impression d’un café banal, anonyme, sans description ni caractérisation or avec plusieurs éléments révèlent le cadre très présent qui intervient systématiquement dans les parties de récit. Décor animé.
« baissa » « allaient » « s’annonça » champ lexical du mouvement + verbes répétitifs renvoient à l’idée d’entrer et de sortir + bruit de la radio créant une atmosphère.
↘Volonté d’un rejet de description, cadre pas propice à une rencontre, concentration sur les indications de temps quand les personnages ne savent pas quoi dire sert à marquer le temps.
II- Femme prisonnière de son statut a. La femme et son statut
-monologue d’Anne
« Elle ne parvenait pas à savoir ce qu’il lui fallait faire d’elle-même » « il faut que je rentre » deux structures de phrase (déclarative et interrogative) structure simple, scandé. Phrase nominales s’additionnent : court simple efficace + interrogative atone.
↘Malgré le statut il domine
-confessions
« il faut » « devrait » incapable d’agir (conditionnel) pas suivi de verbes d’actions. Tournures négatives + expressions dépréciatives « je m’y prends très mal » + silence connoté négativement « silence stupéfié ».
↘Elle subit, prisonnière se laisse dominer, l’homme lui fait prendre conscience. Paradoxe l’homme adultère ne fournit pas une liberté. Pas de lutte, aucun contrôle. b. Le rôle de mère
-répétition du mot « enfant »
Aucun