La peine de mort

En 1990, au Texas, Claude Jones et un ami se rendent dans un dépanneur pour commettre un vol à main armée. Le vol ne se déroule pas comme prévu et le commerçant reçoit une balle qui le mène à la mort. Quelques jours plus tard, Claude et son ami sont arrêtés pour le meurtre du commerçant. Claude Jones est condamné à la peine de mort, car son ami a affirmé en cours que Jones était bel et bien le tireur. Malgré le fait qu’il ait toujours nié avoir tué l’homme, la peine capitale est non négociable. Peu avant son exécution en 2000, Jones demande un examen d’ADN sur le cheveu prélevé sur la victime. Cette demande lui est refusée, car selon le juge les résultats n’innocentent pas Claude Jones d’avoir commis se meurtre. Jones est donc exécuté en 2000 soit 10 ans après le meurtre. Ici , l’agent moral qui est le juge se voit confronté à un dilemme à savoir Claude Jones est-il coupable ou non d’avoir commis ce meurtre. La seule preuve tangible pour que Claude Jones soit accusé du meurtre du commerçant est un simple cheveu retrouvé sur les lieux le soir du crime. Aucun examen prouvant que l’ADN du cheveu appartenait bel et bien à M. Jones n’a été exercé. Le juge décida de fonder son jugement sur des révélations de personne ayant assisté au meurtre et à l’aveu de l’ami de ce dernier qui était avec lui ce soir là. Le dilemme reste à savoir si les deux personnes devraient être déclarées coupables ou seulement le tireur ? Jones est-il vraiment resté dans la voiture comme il a déclaré au juge? Le juge n’avait rien prouvant que le réel meurtrier était bel et bien Jonas et non son ami, car la seule preuve était la parole de Jones et son ami ainsi que des gens présents dans le magasin le soir même. Le juge qui par conséquent a étudié le crime, la pensée des criminels, les témoignages avec soins pourrait faire erreur sur la personne qui a commis le crime et mener a l’exécution d’un innocent. Seul le juge peut donner une sentence et seuls les deux hommes ayant