La peine de mort La dernière exécution publique en France date du 17 juin 1939, lorsque Eugène Weidmann fut guillotiné à Versailles. La France a ensuite interdit les exécutions publiques, poursuivant cependant les exécutions dans l’enceinte des prisons jusqu’en 1977. La peine de mort a été abolit en 1981 en France par le président de la république François Mitterrand, faisant de la France l’un des dernière pays de la communauté européenne à l’abolir.
Pourquoi la peine de mort a-t-elle été abolie ?
On va vous présenter en 1er partie : d'ou vien la peine de mort en France en 2eme partie : l’abolition de la peine de mort mondial et enfin la peine de mort un contexte politique.
La peine de mort : appeler aussi « peine capitale » consiste à exécuté une personne ayant été reconnue coupable d’une faute qualifier de « crimes capitales ». Avant 1791, il existait en France suivant les époques une multitude de modalités d'exécuter de la peine capitale, selon le crime et la condition du condamné. Le droit pénal de l'Ancien-Régime comportait des peines afflictives destinées à faire souffrir le coupable, et des peines infamantes destinées à l'humilier. Les peines n'avaient pas pour but de punir ou d'amender le coupable, mais d'impressionner les spectateurs, de servir d'exemple, de dissuader le public de commettre des crimes. L'emprisonnement ne figurait pas encore parmi les peines, et il ne servait qu'à s'assurer de la personne accusée en attente du jugement, ou alors comme peine de substitution en cas de grâce. En particulier pour les femmes qui n'étaient jamais tenues d'exécuter une peine de bagne, et plus rarement exécutées en cas de peine de mort. Les personnes atteintes de démence après leur condamnation et les femmes enceintes ne pouvaient pas être exécutés. Les grâces étaient nombreuses car toute personne convaincue d'un homicide était condamnée pour assassinat, et c'était par la procédure de recours en grâce qu'on l'excusait lorsque l'homicide était