Peine de mort
La peine capitale ou plus souvent nommé la peine de mort, est une peine conçue par la loi. Elle consiste à exécuter une personne qui aurait été reconnue coupable d’un crime capital prononcée par l'institution judiciaire lors d'un procès. Si un procès n’a pas lieu pour exécuter une personne ayant été coupable d’un crime, on parle d'acte de vengeance ou bien de justice privée.
Le commencement : La loi du Talion est le premier texte (loi) écrit sur la peine de mort. Dans cette loi, si un homme tue un autre homme, il est exécuté, s‘ il tue le fils d’un homme, c'est son propre fils qui est exécuté. Et si c’est une esclave d’un citoyen qui est tuée, alors le coupable doit lui fournir un nouvel esclave. La peine de mort préserve la société et répare les dégâts causés selon les philosophes antiques. Chez les romains, la peine de mort était moins courante car ils préféraient l’exil, la réprimande, la prison ou la torture à l’exécution.
L’empire byzantin, lui ne pratiquait pas cette condamnation mais préférait utiliser la mutilation, qui obligeait le coupable à avoir une vie misérable, car pour eux « Tu ne tueras point. »
Au Moyen Age, la religion chrétienne était importante, la peine de mort n’étant pas concevable, Clovis créa la loi salique, elle consiste à donner une somme d’argent importante à la famille de la victime, qui ne devra l’accepter sans se venger contre ce crime.
Cette philosophie sur ce droit pénal était selon les époques plus souples, ou plus sévères (époque Carolingiennes). À la fin de l'Ancien régime, 115 personnes ayant étés exécutés sont connus en France (le vol de mouchoir par un domestique, des cambriolages, l'homosexualité, ou aux meurtres) avec plusieurs façons de l’appliquer comme la décapitation à l’épée ou à la hache (nobles) , pendaison (voleurs) bûcher (hérétiques et incendiaires), supplice de la roue (bandits et meurtriers), écartèlement (parricides (tuant sa famille) et régicides