Peinture au 17eme
> voir l'article sur la Renaissance artistique
La peinture de cette époque se caractérisait par un intérêt porté à l'homme. On jugeait un homme, si et seulement s'il était instruit. Les peintures étaient le plus souvent des portraits, sculptures de l'être humain dans une image complète et méliorative. L'art du nu s'affirma (en référence à l'Antiquité) notamment pour valoriser l'aspect athlétique de l'Homme. Parmi les peintres de cette époque, on a :
En Italie : Michel Ange, Raphaël, Leonardo Da Vinci, Titien, Véronèse.
En France : Jean Clouet
En Allemagne : Albrecht Dürer, peintre graveur, dessinateur allemand, Hans Memling, Lucas Cranach l’Ancien, Hans Holbein le Jeune. Amélioration des techniques de peinture [modifier]
• la peinture tonale
• amélioration du vernis, notamment grâce aux recherches de Léonard de Vinci
• la peinture sur toile remplace la peinture sur bois, trop chère[réf. nécessaire]
• le tableau de chevalet
Renouvellement des thèmes [modifier]
Le nu est peint pour lui-même, il devient sujet à part entière et expression esthétique. Les paysages prennent également de l'importance et sont réalisés pour leur valeur intrinsèque, surtout par les peintres des Flandres qui inaugurent une longue tradition. Au XVIe siècle, les princes commencent à se constituer de véritables collections de tableaux. Les allégories (Botticelli) et les sujets mythologiques permettent à l'iconographie profane de se développer. Le nu féminin est à la fois érotique et l'expression d'un idéal de beauté. Le portrait existait déjà au Moyen Âge, de profil ; il se diffuse dans les milieux bourgeois de la Renaissance. Le plus célèbre est la Joconde de Léonard de Vinci. Les portraits viennent agrémenter les galeries de palais et des châteaux de plaisance. Ils prennent de l'importance en taille et immortalisent les rois à cheval. Cependant, l'art de la Renaissance continue aussi, comme au Moyen Âge, de représenter des thèmes catholiques.