I) La théorie de la valeur :
Il s’agit de déterminer la valeur ou le prix des biens produits. Les physiocrates avaient déjà établi que la richesse est le produit du travail humain. Les classiques ont soutenu que l’opulence naît de la division du w. L’organisation des manufactures exige des capitaux qui permettent d’augmenter la productivité du w et de le diviser d’avantage grâce à l’utilisation de meilleurs « instruments ». Le « travail industriel » est tt aussi productif que le « travail agricole », le prix naturel des choses est égal à ce qui est nécessaire pour payer le w demandé par leur production.
Le w est donc la source de toute richesse, mais les revenus ne sont pas proportionnels au w de chacun.
La division de l’opulence ne correspond pas au w, ceux qui supportent le poids de la société reçoivent le moins.
La division du w repose sur la tendance des individus à échanger et cet échange pose le problème de formation des prix de produits, càd de la valeur.
Deux sortes de la valeur sont distinguées :
La valeur d’usage : l’utilité d’un bien.
La valeur d’échange : c la valeur la plus importante.
Les produits doivent s’échanger à raison de la quantité du w nécessaire à leur production .Il est alors naturel que le produit de 2 heures de travail vale le double de produit qui a demandé 1 h de travail. Si le prix naturel d’une marchandise était égal aux salaires payés, tout serait simple. Dans le prix il y a le profit du capital et la rente foncière. Les profits se règlent sur le capital employé et les rentes ne sont pas en rémunération d’un travail.
Le rapport entre les prix de marchandises et leurs coûts de w serait par Adam Smith plutôt vérifiable dans l’époque précédente, l accumulation des capitaux et l appropriation des sols. Cependant pour Ricardo l explication de la valeur d une marchandise par leur contenu au travail est valable pour l économie primitive que pour l économie basée sur la division de w. Pour prouver que la valeur dépend du coût en