But de l'auteur : Dans ce texte, l'auteur veut nous faire questionner sur la théorie et la pratique de la souveraineté du peuple québécois. De plus, il nous fait réfléchir sur l’idée d’indépendance du Québec. Que le Québec détient sa propre souveraineté ce qui signifie qu’un peuple exerce lui-même son droit à disposer de lui-même. De plus, il nous fait comprendre qu’il y a deux grands peuples au Canada qui mènent le jeu, le peuple canadien anglais et le peuple québécois.
Synthèse : Premièrement, on nous explique que le peuple québécois est un peuple transhistorique dans l’histoire moderne de l’Amérique du Nord. Cela signifie le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Dans le peuple québécois, il y a toujours eu des tendances de la souveraineté. La souveraineté, c’est la non-soumission à une autorité supérieure donc, de n’être dépendant de personne. Jean-Luc Deveaux nous explique que les québécois vivent dans la pratique de la souveraineté défensive tandis que les peuples de monde pratiquent la souveraineté offensive. La souveraineté défensive est synonyme à l’étapisme. Cette pratique prend beaucoup de temps et n’avance normalement pas. C’est par exemple, demander à la prérogative royale si c’est possible d’obtenir l’indépendance et qu’elle répond non. Alors, on ne peut obtenir notre indépendance même si tout autre était d’accord. Tandis qu’avec la souveraineté offensive, on a vu plusieurs peuples accéder à l’indépendance politique. C’est par exemple, décider par nous-mêmes d’accéder à cette indépendance avec force et beaucoup de sacrifices. Il y a l’application du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes : Le droit des peuples est un droit inaliénable, imprescriptible, indivisible et incessible. Aujourd’hui, devenir peuple indépendant est la seule façon de pouvoir protéger notre culture ou même notre langue. Le droit des peuples est un droit normal et imprescriptible. On dit que le peuple