Peut-on affirmer que la fête de Noël, dans ces trois récits, revêt la même signification ?
Textes : «Le mercredi avant Noël» - «Un acte de mémoire» - «Le matin de Noël 1949»

Dans l’anthologie composée par Paul Auster, «Je pensais que mon père était Dieu et autres récits de la réalité américaine», le lecteur passe par toutes sortes d’émotions. Les histoires écrites par ces gens de New-York, du Massachusetts, de la Caroline du Nord, du Tennessee et d’un peu partout aux États-Unis sont surprenantes, remplis de tristesse, de joie et d’une vérité criante. Les auteurs de ces petits récits sont des citoyens de ce pays, qui ont répondu à la demande de Paul Auster en lui envoyant leur histoire. Ces histoires, qui malgré terminées, restent dans nos têtes (Auster, 2000).
Plusieurs thèmes sont présents dans cette anthologie, en passant des animaux aux objets, puis de la famille à l’amour. Dans les textes «Le mercredi avant Noël», «Un acte de mémoire» et «Le matin de Noël» la fête de Noël est particulièrement importante. Dans ces trois récits, la signification de la fête de Noël est la même, exprimée de deux façons, soit par les valeurs familiales qui sont au centre de ces récits et par la vrai signification de Noël.
On peut observer qu’il est possible de lier les trois récits ensembles pour illustrer que la famille est au centre de ces trois récits et que le message des auteurs est pratiquement le même, soit la famille c’est important. Ensuite, le récit les trois récits permettent de croire que les gens ne sont pas centrés sur eux-mêmes, que les valeurs comme l’amour, la compassion, le partage et la générosité sont les valeurs qui donnent un sens significatif à la fête de Noël.

Premièrement, il est juste de dire que dans les trois récits, la signification est la même puisque l’une des preuves est que les valeurs familiales sont au centre de l’histoire et qu’elles sont plutôt importantes aux yeux de celui qui écrit le récit. En effet, il est nécessaire de