Peut-on vivre en société sans droit ?
D’après Aristote, « L’Homme, cet être sociable », par essence tend à vivre en société. C’est pourquoi afin de vivre en communauté avec ses semblables il a du instauré des règles qui ont au fur et à mesure de l’histoire évoluer, qui se sont complexifié et perfectionné pour devenir une véritable forme arborisé. Ces règles instaurent notamment une hiérarchie sociale, on note ceci que l’on considère le chef de tribu, en passant par le monarque pour finir par le Président de la République. Cependant certains individus (les anarchistes) ont prôné une forme de vie qui se qualifierait par l’absence total de règle délimitant les comportements. D’autre encore tel que les ermites, pensait qu’être reclus de la société permettait d’atteindre une forme de plénitude spirituelle et de bonheur intérieur.
Lorsque l’on s’intéresse de près au terme du sujet on observe que, la formule « peut-on » implique la notion de capacité, avoir la possibilité ainsi cela met en place la liberté et la volonté de l’Homme à choisir l’existence du droit ou non. Le pronom « on » nous conforte dans l’idée que la question posée par le sujet s’intéresse aux hommes et qu’il faudra écarter les individus dénués de conscience.
Au sens propre, vivre signe être vivant biologiquement, cependant ce n’est pas que ça il s’agit aussi de survivre et de vivre selon des principes moraux que l’on s’est imposés pour respecter son idéal. De plus vivre sans quelque chose signifie en être privé, une absence intégrale de la chose en question.
Enfin on peut admettre que le droit a plusieurs signification, en effet de manière général il désigne l’ensemble des règles abstraites et applicable à tous, régissant la vie en société et dont le respect est assuré par la puissance publique organisé par l’Etat disposant du pouvoir de la contrainte légitime. Mais il peut aussi être considéré comme la pratique et la recherche du juste qui conduit à l’instauration d’un sentiment de valeur de la justice