Phèdre
Comment l’expression de l’amour fait-elle apparaitre une violence tragique ?
Les manifestations de l’amour dont souffre l’héroïne seront tout d’abord mis en relief puis la fatalité de se dernier malgré les tentatives de fuite sera révélé.
Les sentiments de Phèdre vont être annualisés dans un premier temps. Tout d’abord Phèdre éprouve une admiration pour Hippolyte. On peut relever un oxymore qui montre se sentiment : « Mon super ennemi » (v.4).cette figure met en relief une contradiction entre les deux termes « super » et « ennemi » car Phèdre ressent une passion coupable pour son beau fils. En effet cette amour et impossible. On peut relevée une obsession de l’amour de Phèdre envers Hippolyte : « j’adorais Hippolyte ; et, le voyant sans cesse » (v.18).non seulement Phèdre admirais Hippolyte mais elle le vénéra aussi : « J’offrais tout à ce dieu que je n’osais nommer » (v.20). On peut aussi relevée un paradoxe qui prouve la folie de Phèdre : « Pour bannir l’ennemi dont j’étais idolâtre » (v.25). Dans ce vers Phèdre essayais de considérer Hippolyte comme un « ennemi » mais elle et tellement amoureuse de lui qu’elle en devient folle « idolâtre ».
Après cette admiration pour Hippolyte Phèdre montre des troubles psychologiques et morale. D’abord Phèdre perd la raison elle commence à raconter des choses qu’elle n’aurait jamais sortie devant Oenone qu’elle aurait gardé pour elle : « un trouble s’éleva dans mon âme éperdue » (v.6). Elle explique à Oenone que Hippolyte et essentiel, important pour sa survie : « Je respirais, Oenone ; et, depuis son absence, Mes jours moins agités coulaient dans l’innocence