Philo kholle
...Ou bien même la violence reste nécessaire. Que devient alors la fin idéale?
Mais renoncer à cette fin idéale n'est pas souhaitable: cmt concilier une fin idéal et théorique et la dimension pratique de la politique: cad le champ théorique et le champ pratique.
I.En droit , la politique peut- elle visée à cette élimination de la violence?
A. apparemment, elimination but premier de la po
1er sens de « violence » → violence naturelle fiction de l'état de nature décrit le but et sa nécessité , not le leviathan ,1ere partie chap 13: la violence= la guerre
absence de limites dans l'état de nature suscite cette violence: rivalité égoiste des hommes, (violence des désirs.)
Le contrat social repose sur un assujetissement volontaire de chacun au profit d'un souverain extérieur.
=>L'autorité du souverain est le moyen de mettre un terme à la violence nous sommes au niveau de ce que doit être la politique. la fin visée n'est pas l'élimination de la violence pr elle-meme mais ses cqces: paix et sécurité.
B
Par là la politique légitime droit de la nature à légitimer une certaine violence.
Pour les naturalistes comme Calicles, droit de la N = droit de la force.
redéfinit le juste et l'injuste selon la nature: La N dit ce qui doit être: le fort doit dominer le faible. La politique devrait ( niveau du droit) respecter la nature comme une source de droit. La nature exigerait que le fort domine le faible, ce que la loi interdit.
Pour lui: politique actuelle injuste, vrai justice naturelle et autorise la violence des forts: → violence des désirs.
Or la force, la violence peuvent elles faire droit? Opp à Rousseau sur un prétendu droit du plus fort, livre 1 chapitre 3:
=>la revendication d'un droit de la nature comme droit du plus fort est une contradiction.
(L'objection qu'on a fait à Hobbes et invalide) La force ne fait jms droit, ne crée aucun droit or la politique est tenue par le droit. Ce n'est