philo travail

679 mots 3 pages
Le travail est souvent envisagé sous son aspect contraignant, comme une activité pas forcément plaisante ou valorisante par elle-même. C'est encore plus vrai du travail dit "manuel", où l'homme semble surtout assimilé à une force physique, au détriment de sa dimension plus spirituelle ou intelligente. On a ainsi couramment tendance à opposer deux formes de travail, l'une "manuelle" et l'autre "intellectuelle", en considérant la seconde comme étant plus digne ou plus noble pour l'homme.
Le présupposé sur lequel on ne reviendra pas, mais sur lequel on peut réfléchir c'est que le travail manuel est effectivement opposé au travail intellectuel dans la réalité sociale et dans les formes sociales du travail au point que, une machine remplacera le travail d'un ouvrier.

Les sujets sur la technique donnent lieu généralement de la part des candidats à des considérations générales et pleureuses (les machines qui broient l’homme …) que l’air du temps et des médias ne risque pas de modérer. Et pourtant, il suffirait, comme toujours, de lire le sujet et de le problématiser pour produire, non pas des jérémiades sur la technique qui détruirait tout (la nature, la culture même!), mais une réflexion véritable de nature philosophique appuyée sur des analyses d’objets techniques réels. Le paradoxe veut qu’il existe dans notre culture, pour des raisons diverses que nous verrons un peu plus loin, un rejet de la technique et de ses réalisations, alors que, dans la vie courante, nous sommes immergés en elle. Mais c’est peut-être cette immersion même, qui nous rend aveugle à ces objets techniques formant une telle unité avec notre être, qu’ils ne sont plus pour nous, précisément, des objets. Ici, nous voudrions montrer le travail obligatoire de lecture d’un intitulé à partir duquel la rédaction de sa dissertation devient un jeu d’enfant. La seule qualité d’un devoir de philosophie tient dans l’étonnement que l’on y trouve dans la lecture et le questionnement de l’intitulé, de tout

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