Pour arriver à répondre à la penser de l'auteur nous allons, tout d'abord expliquer l'opposition de l'objetif et du subjectif

L'objectif qui constitue un objet, c’est-à-dire une réalité qui subsiste en elle-même, indépendamment de l'esprit qui le perçoit ou le conçoit. L'objectif est impersonnel et universel, on peut prendre par exemple le savoir qui repose sur un fondement objectif et peut ainsi légitimement prétendre à la vériter.
Ce qui est subjectif est ce qui dépend d'un point de vue comme les passions,les préjugés ou bien les choix personnels d'un sujet, ce qui se rapporte au sujet de la connaissance comme la conscience.

Ensuite Kant affirme que l'on à pas le droit de faire vouloir sa persuasion auprès des autres à la ligne 12 :" Ma persuasion,je peux la garder pour moi,si je m'en trouve bien,mais je ne peux ni ne doit vouloir la faire valoir hors de moi", l'auteur nous dit ici que chacun est persuadé d'avoir raiso net aucun être raisonnable ne donnerait son assentiment à une idée qu'il pense être fausse mais pourtant les croyance sont parfois contradictoires,on peut prendre l'exemple de la croyance et l'opinion :"je pense que ", "ne peux affirmer" expriment des opinions et des croyances que nous tenons pour vraies, mais leur justification sont très vague. Pourtant, dans certains cas, le mot « croyance » semble bien insister sur le fait que nous tenions une proposition pour vraie en mettant plus en avant l'objet ou le contenu d'un jugement que ne le fait l'opinion, plutôt centrée quant à elle sur l'individu qui s'exprime. La croyance semble alors correspondre à un état de certitude plus objectif. Mais pourtant, ce n'est pas toujours vrai, car nous disons « je crois en Dieu », en désignant un objet dont l'existence objective est difficile à attester.

Puis on remarque qu'il y a des rapports entre la verité et l'opinion comme le dit Kant " Je ne peux m'aventurer à avoir une opinion sans savoir au moins quelque chose par l'intermédiaire de quoi le