philo

998 mots 4 pages
1) Depuis ce qu'apportent en réalité nos sens, on nous amène vers un problème de différenciation des connaissances entre les vérités particulières et les vérités nécessaires, pour expliquer le rôle de nos sens dans l'acquisition de nos connaissances. Ici, Leibniz tente de nous expliquer ce pourquoi nos sens ne nous apportent que des vérités générales et la différence entre ces vérités générales, qui viennent de nos sens à travers les exemples que ceux-ci nous fournissent, et les vérités nécessaires, qui ne peuvent ni être niées ni contredites au sein de l'esprit.

2) Il dit que "tous les exemples qui confirment une vérité générale", c'est-à-dire tout ce que nos sens nous apportent comme exemples d'une vérité à propos du monde dans lequel nous vivons et des objets auxquels nos sens ont accès (et puisque nos sens y ont accès, ils semblent en confirmer la "vérité"), "de quelque nombre qu'ils soient", c'est-à-dire peu importe combien de ces vérités générales, de ces exemples ont aura accumulés dans notre mémoire, elles "ne suffisent pas pour établir la nécessité universelle de cette même vérité. Leibniz précise : « quoique sans les sens, on ne se serait jamais avisé d’y penser » car il montre une fois de plus que de son point de vue, les sens ne sont pas suffisants pour nous fournir toutes nos connaissance. Nous constatons également qu’indirectement il fait comprendre que les sens ne jouent aucun rôle dans l’élaboration de nos connaissances. Enfin nous pouvons en déduire que les questions tel que (Les sens ne sont-ils suffisants pour nous fournir toutes nos connaissances) ne viennent à l'esprit que du simple fait que les sens sont présents et que si nous les posséderions pas nous n'y penserons pas.

3) Dissertation :

L'être humain est doté de cinq sens, l'odorat, le goût, l'ouïe, la vue et le toucher. Chacun de ces sens peut permettre d'appréhender des constats indiscutables comme la couleur d'une fraise et le goût sucré du caramel. Ces faits sont des

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