1- Dans cette extrait de L’Être et le Néant il apparaît deux interprétation possible de la maladie. En effet, on retrouve l’interprétation commune, c'est a dire que la maladie supprime la liberté par toutes les contraintes qu’elle apporte, toutes les possibilités qu’elle supprime dans le choix des loisirs, de l’alimentation, ou même des vêtements; puis on retrouve celle de Sartre pour qui la maladie n’est qu’en apparence une perte de liberté. En effet la maladie est une situation nouvelle qui fait perdre au malade des possibilités. Cependant il peut tenter de les reconquérir. Pour Sartre, le malade prend conscience de sa situation et fait toujours des choix, il remplace d'anciennes possibilités par des nouvelles. La maladie n’est qu’une contraintes dans laquelle nous trouvons une nouvelle liberté par des choix différents. Rien ne se trouve imposé à l’homme si ce n’est la maladie. Elle est seulement un cadre dans lequel l’homme peut à nouveau pratiquer sa liberté.Selon Sartre la deuxième possibilité est la plus juste car en effet penser que la maladie nous empêche d’être libre serait de la mauvaise foie car en effet si la maladie nous prive de liberté le malade ne ferait plus rien et ne serait pas capables de vivre seul. Nous comprenons donc que pour Sartre la liberté consiste à faire des choix, on se retrouve confronté sans cesse à des situations déterminées qui s’imposent à nous, ce qui nous oblige à faire des choix. Donc, la liberté s’exerce dans un cadre de contraintes qui est sans cesse remodelé selon ce qui s’impose à nous. 2- Dans cette extrait de Cahiers pour une morale il apparaît que Sartre pense que la délibération est une illusion qui a pour origines le faits que l'on choisit le poids de chaque arguments, ce qui conduits Sartre a dire « quand je délibère, les jeux sont faits » ce qui signifie que lorsque on délibère ont a en réalité déjà fait un choix, la délibération vient simplement rationaliser et légitimer notre choix,le choix n'est