Philosophie de la vieillesse : expliquez et commentez le préambule du livre la vieillesse de simone de beauvoir.
1389 mots
6 pages
Philosophie de la vieillesse : Expliquez et commentez le préambule du livre La vieillesse de Simone de Beauvoir.Les êtres humains font partis du monde sublunaire comme Aristote nous l’explique dans l’un de ses textes. En effet le monde sublunaire est un monde qui est soumis à la génération, à la corruption et donc aux changements. Ainsi, les êtres humains au cours de leur vie devrons faire face a plusieurs sortes de changements : On peut parler de changements physiques ou moraux. A travers le préambule du livre La vieillesse, de Simone de Beauvoir ; il semblerait que l’un de ces changements concerne le passage à la vieillesse. La vieillesse ne serait donc pas considérée comme tout autre changement auquel il faudrait s’adapter.
Mais qu’est ce que la vieillesse ? Et quelle place occupe t’elle dans nos pensées ? En d’autres termes comment la considère t-on ?
Dans une première partie nous développerons la vie d’un être humain comme étant un chemin parsemé de changement. Pour en second lieu nous attarder sur la façon dont est considérée la vieillesse de nos jours. D’une part, comme nous le dévoile clairement le texte, la vieillesse « n’est pas un fait statique » (l.1) mais le résultat, l’aboutissement d’une vie. La vieillesse est donc en quelque sorte la preuve de notre vie, et de tout ce qu’on a vécu. Chaque petit événement de la vie laisse une trace sur l’individu. Cette trace peut être perçue au niveau physique ou même moral de l’individu.
De là découle la question « qu’est ce que vieillir ? » (l.3). Cette question est une question qui fait débat de nos jours, puisque les réponses y sont multiples et dépendent des points de vue de chaque individu. En effet la vieillesse est dans certains cas considérée comme un risque contre lequel il faudrait se prémunir. Mais dans d’autres cas, elle est représentée comme la voie de la sagesse. Certains philosophes le soulignent : Montaigne par exemple. Pour ce dernier la mort nous libérerait de nos