Philosophie descartes
Le texte de Descartes, philosophe du XVIème siècle est consacré au besoin qu’a l’homme d’être instruit, un besoin qui pourrait se traduire dans l’opinion commune comme une recherche sans fin de l’érudition. Or l’auteur prétend contre toute attente le contraire. Pour lui « un homme honnête n’est pas obligé d’avoir vu tous les livres », les actions réalisées définissent le mode de la connaissance par excellence, ainsi l’éducation proprement dite ne serait qu’un frein à ce qui devrait nous être enseigné par notre propre raison.
Comment Descartes réussit-il à soutenir une thèse qui dès la première phrase heurte le sens commun ?
Dans une première partie, nous examinerons les conditions requises qui, selon Descartes fait d’un homme un homme honnête.
Puis dans une seconde partie, nous verrons se qui a put contraindre l’accès à ce statut d’honnête homme.
Descartes, dès le début du texte bouleverse l’opinion préconçut, pour lui l’érudition serait un défaut puisque cela entendrait que nous aurions passé trop de temps à l’étude et pas asse à réaliser les « bonnes actions ». Nous pourrions donc penser que Descartes est contre un accumulation du savoir mais prône le doute premier. L’éducation reste un empilement d’idée expérimenté, prouver mais empêchant toute intervention de la raison. Pourtant pour Descartes toute réflexions doit commencer par un doute, un doute hyperbolique cherchant une verité indubitable : « Je pense donc je suis ». L’enseignement oublirais donc une chose essentielle à l’homme, quelque chose qui le definit et le rend unique : sa raison.
Mais les bonnes actions ont-elles vraiment besoin de la raison pour être executer ? Descartes pense que la raison est seul capable de forger une education qui ne serait pas pollué par des idées pré faite et non precédé par un doute. Il prône un développement premier qui pourrait être transmit plus par la sagesse que par une éducation répétitive et non résonné préalablement. Pourtant, un enfant n’ayant