L’idée générale de ce texte est que la culture peut-être nuisible à la nature. Montaigne remet en cause la « supériorité » de la culture de sa société (l’ensemble de valeurs, coutumes croyances et savoirs) et des répercutions de cette dîtes culture sur toutes les autres (dans ce texte il s’agit de la culture Brésilienne)
Dans la première partie de ce texte, Montaigne énonce sa thèse en utilisant les termes « barbare » et « sauvage » pour désigner des personnes différentes de soie et des peuples plus primaires/différents du sien.
Dans une seconde partie, l’auteur explique sa thèse. En effet, d’après lui « la nature n’a rien de sauvage, mais au contraire la culture semble néfaste » Il appuie sa thèse en présentant la notion relative de barbarie et de sauvagerie.
Pour conclure, le philosophe admet l’erreur des hommes qui se disent cultivés et interpelle sa propre société sur ses pratiques et sur les conséquences de ses actions sur ceux qu’ils définissent comme étant « Barbares et sauvages ».

Dans cette phrase, Montaigne cherche à faire réagir le lecteur. En utilisant le pronom « nous » il s’inclut et désigne les européens, et plus généralement les personnes/cultures civilisé(e)s.
Pour le philosophe, il est évident pour l’homme que la culture qu’il adopte, différente selon les pays, est supérieure aux autres car elle possède « la vérité et la raison ».
Par conséquent, le fait de comparer et de juger une culture différente comme étant inférieure à la sienne revient a affirmé la supériorité de la nôtre et met surtout en avant l’intolérance de l’homme.

Chaque culture peut être Contestable et condamnable. Dans cette extrait Montaigne remet en cause les préjugés des hommes de son époque sur les cultures différentes de la leur ; De ce fait, même si ce texte fut écrit il y a longtemps déjà, la justesse de la thèse de Montaigne est valable, aujourd’hui encore, car les mœurs n’ont que très peu évolués sur certains faits.
Bien que de nos jours nous n’utilisons