Philosophie : le vivant
Les naturalistes classent les vivants par caractéristiques pour définir des genres/espèces.
Carl Von Linné (1769-1832) : grand classificateur
Cuvier (1769-1832) : loi de corrélation des formes (les espèces ne sont pas fixes)
Darwin (1809-1882) : évolution
Lamarck (1744-1829) : transformisme
Selon Aristote le vitalisme : âme est le principe vital de la matière (pneuma, psyche); l'âme est quelque chose de physique et indissociable, le cœur un élément central.
Les 4 causes : cause efficiente (actionnaire), cause formelle (idée, forme), cause matérielle (matériau), cause finale (résultat) finalisme(=téléologie) : penser que rien dans la nature n'est fait en vain/hasard mais que tout est fait en vue d'une fin.
Nature = cause efficiente de toute production naturelle mais ses moyens et ses buts restent cachés
tripartition de l'âme :
-âme végétative (H°, végétaux, animaux)
-âme sensible (H°, animaux)
-âme intellectuelle (H°)
Puissance et acte
La matière contient l'acte en puissance mais il y a des possibilités de variations de l'acte par rapport à la puissance (potentiel). La réalisation de cette puissance varie en fonction de la nécessite et des milieux, elle laisse donc à l'H° un espace de liberté.
L'âme ne saurait quitter le corps, elle en est l'identité (contre Platon qui croit à la métempsychose et contre Descartes mécaniste).
L'âme intellectuelle prolonge le travail de la sensibilité et ne saurait résonner en l'absence de la mémoire et des images sensibles.
Aristote a compris que le nutritif était surmonté par le sensorimoteur surmonté par le cérébral.
Selon Descartes (1596-1650) l'âme n'est pas le principe qui anime le corps, c'est une chose immatérielle qui pense.
Dualisme substantiel – enjeux : libre arbitre
Les viandes = source d'énergie de la mécanique humaine il n'existe dans la Nature ni force occulte ni mystère inaccessible. Il y a un ensemble homogène de lois émanant du