Philosophie
Introduction : Histoire et Mémoire
Mémoire et histoire sont loin d’être synonymes. * La mémoire est un rapport personnel subjectif au passée à des événements dont on a été témoin ou qui ont été rapportés. Elle peut être collectif : familiales, nationales, de groupes victimaire (de victimes). La mémoire est chargée d’affecte (tristesse, colère, fierté). Elle a un lien fort avec l’éthique, elle instable parfois exacerbé, parfois victime de trou de mémoire. Elle est sélective, transforme les événements en symbole sans tenir compte du contexte. * L’histoire est une reconstitution du passé avec un rapport objectif.
Mémoire et histoire entretiennent des relations ambigües. * Les mémoires alimentent l’histoire. Les mémoires sont des sources historiques que l’historien confronte avec d’autres sources documentaires (les archives administratives, l’archéologie). * L’histoire officielle est parfois utilisée pour créer une mémoire collective. L’histoire de France, sous la 3eme République, était un grand récit idéalisé pour montrer la grandeur et ka beauté de la France.
Mémoire et histoire entretiennent souvent des relations conflictuelles. * Les conclusions de l’historien peuvent être en conflits avec les sentiments victimes.
C’est le rôle du législateur de décision des jours de commémorateur, de la création de monument. Il est chargé de la mémoire. Mais parfois il marche sur le domaine de l’historien (loi de 2005 sur « l’aspect positif Introduction : Histoire et Mémoire
Mémoire et histoire sont loin d’être synonymes. * La mémoire est un rapport personnel subjectif au passée à des événements dont on a été témoin ou qui ont été rapportés. Elle peut être collectif : familiales, nationales, de groupes victimaire (de victimes). La mémoire est chargée d’affecte (tristesse, colère, fierté). Elle a un lien fort avec l’éthique, elle instable parfois exacerbé, parfois victime de trou de mémoire. Elle