Camilo Avila Contreras
Cours : Philosophie éthique et politique (340­314­FX)
Date : 08 décembre 2014 Semaine 15, cours A.
Lecture : Eichmann à Jérusalem (extrait) d’Arendt
1) Eichmann a contribué à l’extermination des Juifs, par ambition et par obéissance aux lois.
De fait, il fut déclaré «normal» par des psychologues et par le prêtre qui le visité en prison, ce qui prouve qu’il ne l’a pas fait par méchanceté, par fanatisme, par haine (de fait il n’avait pas de raisons de détester les Juifs), etc. Voulant avoir une meilleur position social (car il n’était qu’un représentant de commerce pour la Compagnie de pétrole de Vacuum), il joignit le parti national­socialiste. Avec des propositions de certains de ces amis, il réussit à monter des échelons du pouvoir jusqu’à devenir un des nombreux fonctionnaires de Hitler et particulièrement l’expert de la question juive. De plus, comme il la lui­même dit, il préféré mourir pendu que mener une vie de simple réfugié.
2) Il est en accord avec la décision finale soit la pendaison d’Eichmann. Il est en fait contre le fait que les membres du jury ont été en accord sur le fait qu’Eichmann n’était qu’un simple
«petit rouage» donc contre le fait qu’ils ont enlevé plusieurs de se accusations, car il ne connaissait pas directement toute l’information sur le crime qu’il allait commettre. De fait
Arendt est contre l’argument qui dit qu’on ne peut juger si on n’été pas présent et impliqué directement lors du «crime», car cela voudrait dire qu’on ne pourrait jamais rendre justice ni écrire l’histoire. Il pense donc qu’Eichmann a commis tous ces crimes non car il était ambitieux et il obéissait aux ordres, mais car il n’était qu’assez arrogant pour ne se fiée qu’a son propre jugement. Donc on ne peut tenir en compte la condition qu’Eichmann vivait à l’époque mais seulement les actes qu’il a commis. Comme on le fait avec un simple voleur.
De fait on ne juge pas un voleur par sa condition, mais par ce qu’il a