Nous étudions un passage de Phèdre écrit pas Jean Racine en 1677, se passage est constituer de Phèdre épouse de le roi Thésée qui a déjà un fils Hyppolite, et de Oenone la nourrice de la reine.
En premier temps nous avons Oenone qui cherche a faire avouer a Phèdre se qui la ronge car elle voit du remord chez elle. Nous comprenons bien que Phèdre est retreinte a avouée a sont locuteur se qui est encrée au fond d’elle. L’aveu se fait lorsque Phèdre dit : « de l’amour j’ai toutes les fureurs » mais il est déjà compris lors que Phèdre émis l’hypothèse d’avouez avec « quand tu saura » dans le vers « quand tu saura mon crime, et le sort qui m’accable »
Le moment où a lieux l’aveu va donc entrainer l’insistance d’oenone pour faire sortir se que Phèdre a sur le cœur, Phèdre fait donc sont aveu et va créer un choc pour Oenone.

Phèdre prépare donc son aveu comme je vous l’es citer un peut plus haut, avec « quand tu sauras » mais se n’es pas le seul indice donné par Phèdre après ce vers d’ autres prononcés par la reine contribue a la préparation de son aveu. Avec la phrase injonctive « Tu le veux. Lève toi », c’est un petit peut comme du chantage. Le fait quelle dise ça montre que si Oenone se celle elle va avouer. La phrase qui montre quelle va se lancer est « que lui vais-je dire, et par où commencer ? »
Oenone elle décide d’entamer le discours en pausant des questions « de quelque remords êtes-vous déchirée ? » puis elle émis une hypothèse comme « vos mains n’ont point trempé dans le sang innocent ? » ses phrase vont donc tout doucement faire que Phèdre va se confier sans réellement s’en rendre compte les vers qui contribue le plus l’aveu sont les deux suivantes « Aimez-vous » et « pour qui » elles sont brèves mais elles n’ont pas vraiment d’échappatoire, quand bien même la reine a du mal a répondre l’Oenone ne relâche pas la pression et insiste en repentent « qui ?