place de la femme dans le boudhisme
Travail individuel, (partie C)
Depuis la nuit des temps, les rapports sociaux des sociétés ont toujours été caractérisés par les mêmes rôles : dominant et dominé. Qu’il s’agisse du rapport entre maître-esclave, suzerain-vassal ou encore bourgeois-prolétaire, notre monde a toujours été marqué par les inégalités, qu’elles soient ethniques ou économiques. Une de ces inégalités qui perdure depuis des millénaires est l’inégalité entre l’homme et la femme. Certains idéalistes pourraient croire que de tels rapports sociaux dignes du Moyen-Âge sont choses du passé mais, de toute évidence, ce ne sont pas toutes les sociétés qui évoluent au même rythme et, dans certaine, les hommes occupent toujours un rôle prédominant. C’est le cas, entre autres, de certains peuples pratiquant le bouddhisme où la femme n’est pas considérée égale à l’homme.
Le bouddhisme est une philosophie, ou une religion, présente partout dans le monde. Il est surtout présent dans les régions d’Asie (Corée du Sud, Chine, Inde, Japon, Tibet, Taiwan, etc.), mais il connaît une croissance importante en popularité dans les régions occidentales (comme nous le démontre la carte ci-dessus). Dépendant de la région, la femme bouddhiste (nonne) a une place et une importance différente, cette disparité a souvent engendré des débats.
Dans le bouddhisme chinois, les nonnes sont très inférieures aux hommes. Elles refusent de considérer l’option de s’engager à un homme et il est souvent question que, dans les régions plus éloignées, les nonnes chinoises participent à du tourisme sexuel. La situation des femmes est médiocre, les hommes forcent les femmes à ne pas se respecter, physiquement et moralement, ce que je trouve personnellement, horrible.
Évidemment, cette situation dans laquelle les nonnes se trouvent ne favorise pas une bonne considération de ce que la femme peut avoir d’elle-même. Le premier palier de la pyramide de Maslow est comblé,