Plan commentaire balzac
Portrait physique : qui commence par le haut bonnet de tulle (l.1) ; cheveux (l.2) ; sa face (l.4) ; son nez (l.5).
Puis son buste ses mains l.6) ; et revient au haut sa figure (l.11) ; ses yeux (l.12) ; qui souligne sa vieillesse
Enfin le bas par son jupon (l.21) qui exprime son mauvais goût
Répétition de « petit »
Comparaison avec des animaux : l.5 « un nez à bec de perroquet » qui a pour effet de montrer qu’elle est bavard.
Portrait moral : métaphore « comme un rat d’église (l.7) » (cela évoque aussi des lieux malpropre « l’amer renfrognement de l’escompteur (l.14) » ; « sourire prescrit aux danseuses (l.13) » qui a pour effet de montrer l’avarice de Mme Vauquer. Aussi « les pantoufles grimacées (l.4) » qui souligne son avarie et sa lourdeur « en traînassant ».
Métaphore de sa vanité (l.1) qui montre qu’elle montre une perruque mais aussi son hypocrisie.
Portrait lié au décor l.20 « étoffe lézardée » qui signifie en ruine ; son jupon résume le salon, la salle à manger, le jardinet et la cuisine qui montre que Mme Vauquer est au centre de tout (l.24 à 27).
Caricature : adjectifs dévalorisants d’où le portrait du personnage est péjoratif : attifée ; faux ; mal mis ; grimacée ; vieillotte ; grassouillette ; potelée ; dodue ; fétide ; ridés ; blafard ; vieille : lézardée.
l.18-19 qualifiant « embonpoint » ce qui signifie qu’elle ne manque pas d’argent et elle mange à sa faim.
Utilise ironie pour la critique
Balzac dans la description de Mme Vauquer fait la critique des mœurs de la bourgeoisie tout en associant le portrait dans une illusion réaliste. Il critique l’avarice des bourgeois d’où le portrait satirique de Mme Vaquer qui profite de la misère