Plan développé rené chateaubriand
Partie 1 : Instabilité émotionnelle de René
1) Inquiétude
On voit qu’il y a un champ lexical de l’inquiétude. « Incertitudes » ligne 5, « foules de sensations fugitives » l.1, « un secret instinct me tourmentait » l.22… René est tiraillé entre l’inquiétude et la rêverie. La répétition des « on » en début de texte montrerait que cela s’applique pour tous les hommes.
2) Motifs d’inquiétude/La nature en reflet
L’errance : « je m’égarais sur de grandes bruyères terminées par des forêts » l.14 ; « souvent j’ai suivi des yeux les oiseaux de passage » l.20.
La solitude : « roche écartée, un étang désert » l.18.
L’existence : « sensations fugitives » l.1, « une feuille séchée que le vent chassait devant moi, une cabane dont la fumée s’élevait dans la cime dépouillée des arbres, la mousse qui tremblait au souffle du Nord sur le tronc d’un chêne » l.15.
Le voyage : René s’identifie aux oiseaux migrateurs.
L’inquiétude est de plus souligné par l’appel aux orages, ainsi que des syntaxes symétriques (« tantôt…tantôt » l.6).
Partie 2 : L’appel
1) vers l’infini