Plan exercice
Environ dix minutes plus tard une première ambulance du SRI de Couvin déboule dans la cour de l’école. Les deux ambulanciers sont d’emblée assaillis par une adolescente hystérique traumatisée par le drame qui se déroule sous ses yeux.« sauvez – nous » hurlent les élèves, du troisième étage. Un ambulancier, écarte l’adolescente et tente de la calmer. La police arrive sur place et l’emmène dans le combi.
Cinq minutes après, un camion de pompiers avec quatre hommes à bord arrive sur place.
La lance d’incendie est déroulée et d’autres hommes du feu pénètrent dans le bâtiment à la recherche des victimes.
L’officier de garde demande des renforts, les unités de Chimay et Philippeville se rendent sur place et souhaite que le Bourgmestre soit informé afin de lancer le plan catastrophe Communal.
Les premiers intervenants sont rejoins par des ambulances de Couvin, de Chimay,un autre camion de pompiers et la Croix Rouge ainsi que l’aide psychosociale d’urgence, la protection civile de Ghlin.
De plus, les inspections d’hygiène de la province de Namur et du Hainaut on été requis.
Il n’en faut pas plus pour que des dizaines de badauds s’empressent aux abords de l’école pour observer le déroulement de l’intervention .
Un motard et deux combis de police bloquent les accès à la rue Saint-Roch,(entrée par la cour de l’école.)
Pendant ce temps , les premières victimes sont emmenées vers le poste médical avancé installé dans la salle de gym de l école , en attendant l’arrivée des SMUR .
Les urgentistes, sous la houlette du Dr C,( Médecin–régulatrice au CHU de Charleroi ) examinent la gravité des blessures de chacun et leurs posent un macaron suivant leurs traumatismes; poly