Plan d'une sortie d'une sortie dans les camps d'extermination
Mi sentivo stremato, non solo corporalmente : come un atleta che abbia corso per ore, spendendo tutte le proprie isorse, quelle di natura prima, e poi quelle che si spremono, che si creano dal nulla nei momenti di bisogno estremo ; e che arrivi alla meta ; e che nell'atto in cui si abbandona esauto al suolo, venga rimesso brutalmente in piedi, e costretto a ripartire di corsa, nel buio, verso un altro traguardo non si sa quanto lontano . Meditavo pensieri amari : che la …afficher plus de contenu…
Dans un deuxième passage on peut voir la souffrance qu'ils endurent pour rentrer chez eux, sans le contexte on pourrait presque croire qu'ils sont de nouveaux dans ces trains les menant au camps d'extermination. Ils se retrouvent dans des wagons, ils ne savent pas réellement où ils se rendent. Les conditions sont dures, Primo Levi n'a pas mangé depuis 24 heures. Une phrase de ce passage montre qu'il considère ce deuxième voyage comme une deuxième souffrance imposée. Il dit qu'il n'aura plus jamais de répit.CONCLUSION