Platon connaissance de soi
Premièrement, ma conviction éthique fondamentale est le respect. Il est défini comme étant une attitude qui incite à traiter quelqu’un avec égard et considération. Un certains estime qu’on a pour les gens et pour soi-même : On respecte un homme qui se respecte lui-même. Cette attitude m’as été communiqué par l’éducation que mes parents et enseignants m’ont inculqués. A savoir que je dois respecter tout le monde aux mêmes pieds d’égalité, ne pas tenir compte de l’âge, du sexe, du niveau d’études, de la classe sociale de la personne. En effet, en ayant pour conviction éthique qu’on peut aussi dire valeur morale le respect, cela m’oblige à ne pas faire aux autres ce que je n’apprecie pas qu’on me fasse, à tenir compte des choix, opinions, pensées, mode de vie des autrui. Prenons pour exemple, je n’aime pas quand je parle et qu’on me coupe la parole, alors en aucun cas je dois le faire aux autres. Certains disent qu’on doit leur respecter avant qu’ils respectent les autres ce qui n’est pas du tout vrai comme le dit Balzac : « On respecte un homme qui se respecte lui-même. » je n’ai pas besoin qu’autrui partage ma conviction pour l’appliquer par ce que selon moi du respect découle plusieurs autres valeurs pour ne pas dire toutes. Par exemple l’amour comment vais-je aimer une personne si je ne lui respecte pas ? La charité, c’est le fait de donner autres mais il faut donner avec respect prenons le cas d’un mendiant, je veux lui donner de la monnaie pour se faire je lui lance mes monnaie à terre c’est un manque de respect envers cette personne est-ce que je peux dire que je suis charitable, je ne pense.
Ensuite, je veux être technicienne en réadaptation