Rapport de lecture La république de Platon
Première partie
Question 1
Au début du livre 2 de la République, Glaucon distingue trois sortes de biens. Décrivez brièvement ces trois sortes de biens et expliquez l’utilité de cette distinction pour caractériser ce qu’est la justice, selon Platon.
Pour comment l’analyse, il est important de comprendre comme Platon décrit la justice: «C’est une entente harmonieuse des parties hiérarchisées d’un tout.»[1]
Glaucon stipule qu’il y a; Premièrement, il y a le bien en soi, qui veut dire que, c'est un bien que l'on ne l'aime pas pour ses caractéristiques, sa force, sa forme ou sa couleur ni en pensant à ce que cela va nous rapporter dans le futur, mais plutôt car on l'aime en soi, car on l'aime pour ce qu'il est réellement. Des petites choses qui ne résultent de rien mais que l'on apprécie. Glaucon fera mention, par exemple de la joie ou toutes autres émotions que l'on vit et apprécions sur le moment sans penser au résultat. Cela est juste et apporte le bonheur. Par la suite, il y a le bien pour les conséquences. On entend tout bien qui, au contraire du bien précédant,qui apporte une conséquence. C'est un bien que l'on aime à double sens. On l'aime parce en soi et on l'aime parce qu'il nous apporte quelque chose, un résultat. Comme par exemple, la santé, bien-être physique, la vue, l’ouïe. On aime avoir la santé car elle nous apporte plusieurs autres grandes choses. Une personne pas en santé est pénalisé sur certains points. Elle a un moins grande possibilité d'avancer dans la vie par cause de son état de santé. Au même sens qu'une personne qui n'aurait pas la vue. Or donc, c'est dans ce double sens que nous chérissons ce bien.

En dernier lieu, il identifie le bien en soi et pour les conséquences. Par exemple, le résultat qu'apporte le sport ou lorsqu'on vainc une maladie. Platon classe la justice à travers ce bien ci. En fait, c'est ce qu'on est récolte qui caractérise la justice de ce bien. Platon,