Plaza athénée
« Les murs qui parlent »
« Par son silence, un mur peut révéler beaucoup de vérité », Zhang Xianliang, écrivain chinois. De tous les temps, les murs représentent un élément fondamental en matière de communication. Aujourd’hui nous vivons dans la publicité et nos achats, notre vie sont principalement conditionnés par celle ci. Les murs sont habillés d’affiches, mais sont surtout annonciateurs de vérités, de revendications et surtout de propagandes.
« Les murs qui parlent » représente l’importance de ces derniers et des messages qu’ils transmettent à chaque instant qu’une personne va poser les yeux sur eux. L’auteur du texte ainsi que sa date de publication sont inconnu, mais on en déduit par le tracé historique que le texte date d’il y a quelques années. Ce texte présente l’intérêt d’une argumentation au travers d’un récit. L’auteur s’adresse de manière directe aux lecteurs pour leur faire comprendre l’importance des structures murales dans nos vies et surtout les messages quotidiens quels nous apportent.
Dans un premier temps nous verrons qu’il y a une véritable personnification des murs qui apparaissent tel des annonciateurs de nouvelles puis par la dénonciation le véritable intérêt sociales de ces derniers.
L’auteur confère à des entités abstraites ou à des inanimés, des traits de comportement, de sentiment ou de pensée propres aux êtres humains. Le texte présente donc une véritable personnification des structures murales. Ce procédé d’écriture est employé pour donner de la vie au récit. L’auteur essaie de créer et de partager :
« nos maisons portaient » ligne 1, « ces murs muets » ligne 6, « les maisons eurent des opinion, les volets et les portes devinrent des cahiers de revendications » ligne 11-13. Les objets représentent ici un élément important dans le texte puisqu’ils sont les annonceurs de propagandes, de nouvelles, etc. Ce ne sont pas les gens qui parlent et dénoncent, mais les structures de la maison. Il y a derrière