L’habit ne fait pas le moine

Ma réflexion a commencé par l’analyse du terme : « un troupeau d’huitre dans le désert de l’Himalaya » qui est la personne pour qui le mobilier doit être conçu. Je me suis alors questionner sur les personnes vivant, sur la géographie et l’histoire dans cette partie du monde. Mes recherches m’ont vite amené à réfléchir sur les moines tibétains, leur philosophie, leur style de vie, la religion bouddhiste. En effet, j’ai vite mi en relation les huitres dans le désert de l’Himalaya et les moines tibétains. Il y a beaucoup de points qu’ils ont en commun : les moines, tout comme les huitres, cardent la perle de la sagesse dans leur corps, dans leur esprit ; les huitres ont aussi en point commun avec les moines le fait qu’elles se renferment sur elle-même et elles s’accrochent a leur rocher comme les moines tibétains ne veulent pas partir de la montagne dans laquelle ils ont toujours été installé et ce malgré les menaces et les actions de la police chinoise. C’est dans cet axe que j’ai donc décidé de crée une table pour les personnes qui partagent la philosophie des moines tibétains et donc, par extension, de la religion bouddhiste.

Repas traditionnelle des moines tibétains De plus, il est prouvé que l’haleine et ce que l’on mange sont en relation directe. C’est donc tout naturellement que, lors ce que j’ai entendu que la fonction du mobilier devais être de donner bonne haleine, j’ai pensé a un mobilier de repas, une table a mangé ou un coin de cuisine. Je me suis donc renseigné sur les repas des moines tibétains. Je me suis rendu conte que le fait de mangé végétarien n’était pas une obligation pour les moines même si beaucoup d’en eux on adapté ce style de repas. De plus, je « comment » du meuble étant « en se léchant » m’a aussi inspirer cette idée de nourriture, de repas, de gout car, comme le dit l’expression : se lécher les babines, ou alors quand on dit que un repas est alléchant, ce qui signifie que le repas est bon, qu’il donne