La pièce est dans tout son lustre au moment où il dépose un pied sur le pas de la porte. Son corps était un aimant, tout les regards se devaient de se poser sur ce jeune homme. Ses cheveux ont une couleur auburn, et les reflets du soleil font ressortir quelque mèches rousse, ils ne sont pas vraiment coiffés et ses bouclettes tombent négligemment sur ses yeux. Le brun enroule sa pupille, et ses prunelles si sombre éclaire la vie de chaque individu croisant sa route. Elles parlent à la place de sa bouche. Sa bouche elle-même est fine et gracieuse. Il a un visage d'une douceur surprenante, on a envie de passer ses mains dessous et d'embrasser ses pommettes rosé. On peut lire sur son portrait que c'est une bonne personne, que c'est un homme de confiance. Il porte encore cette veste en jean qu'il remonte jusqu'au coude, et son débardeur blanc qui est en parfaite harmonie avec les murs du café où l'ont se trouvait.
Ce jeune homme est considéré comme un éphèbe au près des femmes. Aucune ne pouvait détacher leurs regards de son faciès si beau, et si bien dessiné. Mais ce qui faisait fondre la plus part des filles était son sourire. Ce sourire mi-sincère mi-trop timide, ce sourire d'homme timide qu'il n'est pas avec ses deux joues qui remonte vers le haut.
Le fils Vadner n'a pas eu la vie très facile, il est divinement radieux certes, mais intérieurement c'était désastreux, un abominable, un sinistre chaos. L'histoire de sa vie seulement quelque personnes la connaissait. L'histoire de ce jeune homme perdu, de ce jeune homme trompé, trahis. Et malgré la souffrance qui le tiraille, il garde confiance. Toute sa personne explique la confiance, comme la confiance implique sa personne. Il est chaleureux comme le café qui nous entoure. Les murs sont blanc cassés, des dizaines de tableau les habilles, des tables arrondis et bleu sont placés un peu partout dans la grande pièce et les fauteuils azure sont parfaitement confortable.
On voyait souvent Vadner s'asseoir à une table