pose d'une voie parentérale
Pose d'une voie parentérale pour l'alimentation de Mme B. en soin palliatif à domicile.
J'ai choisi cette situation car je trouve qu'elle permet de bien comprendre l'importance des règles d'asepsies compte tenu de la situation.
En tant qu'élève infirmière en première année, j'ai effectué mon premier stage dans un cabinet d'infirmières libérales. J'ai eu a prendre en charge, avec ma tutrice, Mme B., en soin palliatif.
Son état de santé a nécessité une alimentation parentérale.J'ai donc participé à ce soin avec toutes les précautions d'hygiène qu'il nécessitait.
La situation est donc une pose de voie parentérale pour une alimentation et une hydratation de Mme B. en début de prise en charge en soin palliatif. Cette décision a été prise par le médecin du fait du refus de cette patiente à s'alimenter et s'hydrater.
Mme B., 88 ans, est prise en charge par les infirmières libérales, et moi même durant mon stage, ainsi que son médecin traitant et ses enfants afin d'assurer le meilleur suivi possible pour cette patiente.
Elle vit au domicile avec trois de ses six enfants, à Saverdun . Une chambre lui est réservé. Ses enfants ont fait le choix de la garder près d'eux pour son confort et son bien être. De plus, d'un point de vu psychologique, il est préférable de maintenir les patients dans des lieux familiers afin d'éviter un processus de deuil de leurs domicile. Par ailleurs, d'un point de vu législatif, les droits des malades en fin de vie, avec la loi Leonetti de 2005 permet de respecter le choix des malades et de leur famille.
La situation se déroule le 14 décembre 2013 pendant ma période de stage. La prise en charge palliative vient d'être mise en place dû à la dégradation de l'état de santé de Mme B..
Sa prise en charge s'effectue dans le respect de ses souhaits et de ceux de ses enfants, évitant ainsi tout acharnement thérapeutique(loi Léonetti). Il a été décidé une alimentation à ce