Pour un commerce mondial plus juste
TRAVAIL D’ÉCONOMIE POLITIQUE : POUR UN COMMERCE MONDIAL PLUS JUSTE
COMPTE-RENDU D’UN OUVRAGE ET CRITIQUES PRÉSENTÉ À L’UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL COMME EXIGENCE DU COURS POL 4470 À CHRISTIAN DEBLOCK
PAR JOSIANE PERREAULT
PERJ18578705
LE JEUDI 1ER OCTOBRE 2009 Compte-rendu et critiques du livre « Pour un commerce mondial plus juste » par Joseph E. Stiglitz
Dans un monde où chaque année est marquée par plusieurs avancées technologiques importantes, où on traduit désormais le terme ‘sous-développé’ par ‘en voie de développement’ et où l’économie accorde de moins en moins d’importances aux industries pour laissé place au marché du service et du savoir, on tente tout de même de résoudre plusieurs difficultés reliées au commerce international, à l’égalité et à l’intégrité. L’ouverture des marchés permet aujourd’hui un monde dans lequel il est possible de commercer aisément et d’apporter une valeur ajoutée à son pays; une augmentation du bien-être et des richesses. Cette affirmation, malgré tout, s’avère juste majoritairement pour les participants les plus puissants du commerce international. Les pays en voie de développement se retrouvent souvent perdants au sain d’échanges avec les pays développés. Parfois, ils ne peuvent tout simplement pas commercer dû au comportement des pays riches, à leur protectionnisme et à leurs subventions exubérantes qui nuisent d’une façon immonde au développement des pays les plus pauvres. C’est un peu ce que défend Joseph E. Stiglitz, Prix Nobel d’économie et ancien économiste en chef de la banque mondiale, dans son livre intitulé : Pour un commerce mondial plus juste[1] publié en 2005. Il cherche à nous prouver comment le commerce international peut promouvoir le développement, mais que sans l’aide des pays riches, l’état