Pourquoi censurons-nous nos émotions vis-à-vis du public ? Il est vrai que bien souvent en tant qu’éducateur spécialisé, nous prenons en compte les émotions du public et parfois même nous travaillons et élaborons des objectifs sur ces émotions. Les métiers du social est un métier travaillant avec l’humain, des personnes et donc des émotions qui ne sont pas à négliger. On pourrait donc se demander, si les émotions du public sont si importantes et bonifie notre travaille, pourquoi nos émotions nous nous efforçons de le censuré face au public ? Nous avons pu le remarquer, et notamment dans le domaine de la protection de l’enfance, que les émotions ne sont pas à négliger. La plupart des publics ont un parcours de vie difficile laissant des séquelles profondes. La plupart ont une peur immense de l’abandon, ont des carences affectives ou bien sont en recherche d’attention. Ils sont confrontés à un monde froid de l’institution et on besoin de cadre, de repère et d’estime de soi. C’est ce que peut leur apporter un ES. En réfléchissant nous avons tout intérêt à dévoiler d’avantages nos émotions au public afin d’instauré une relation de confiance et une estime de soi. …afficher plus de contenu…

De même si nous avons confiance en lui ou bien si nous somme déçu de lui. Cela humanise notre métier, et le public peut en prendre conscience. Raconter par exemple des anecdotes bien choisi de notre vie personnelle peut apporter un plus au public et également faire passer des messages comme « tout le monde peut avoir des problèmes ou de la malchance à des moment dans sa vie ». A présent, abordons cette question d’un point de vue inverse. Le public recherche en l’éducateur quelqu’un de solide qui peut encaissez ce qu’on lui dit et développer une réflexion sur des réalité parfois dure. Nous devons exercer notre métier sans emmètre de jugement de