RAPPORT DE STAGE M1
Environ 50-60 p. (dont 40 p. de texte)
Il n’y a pas de plan type, de passage obligé : il faut tenir compte des spécificités du stage, des missions, des résultats obtenus… Mais dans tous les cas, le rapport marque une prise de recul de l’étudiant stagiaire par rapport à sa mission concrète. Il rend compte d'une réflexion structurée autour d'une problématique dont le périmètre ne coïncide pas nécessairement avec celui de la mission.
Dans le cas où l’étudiant transmet un rapport « opérationnel » à sa structure d’accueil (cf. un diagnostic, un travail cartographique, des résultats d’enquêtes/questionnaires, un document de programmation, un cahier des charges, etc.), il est recommandé de joindre ce document sous forme d’un volume séparé, de type annexe. Dans ce cas, le « rapport de stage » proprement dit est plus réduit, insistant sur la présentation de la structure d’accueil, sur un ou deux résultats obtenus et sur le bilan professionnel et personnel.
Il est important que le stagiaire montre dans son rapport, notamment en citant précisément les sources, ce qui résulte de son propre travail.
La forme ne doit pas être négligée. Le document doit faire l'objet d'une relecture attentive de votre part et respecter un certain nombre de règles traditionnelles de rédaction et de présentation (normes typographiques, présentation des références bibliographiques, etc.). Il faudra notamment veiller :
- à faire apparaître le plan détaillé du document (sommaire en début de rapport ou table des matières) et à paginer l’ensemble y compris les annexes ;
- à la forme du rapport (titre précis ; plan apparent au cours de la rédaction : introduction, titres et sous-titres de chapitres, conclusion, bibliographie, annexes) en soignant les transitions entre parties ;
- aux illustrations (suffisamment « grandes » pour être lisibles ; si possibles personnelles ou indiquant toujours la source) ;
- à respecter les règles d’écriture (orthographe, grammaire, syntaxe, ponctuation,