Première méditation de descartes
La prise de conscience s'effectue dès l'enfance. Enfant = celui qui n'est pas encore capable de faire un usage complet de sa raison. Reçoit la connaissance parce qu'on lui dit : naïf, sans sens critique. Ce qu'il apprend de lui-même ? principalement par son expérience, ses sens. Or faire confiance en ses sens peut nous induire en erreur. Lorsqu'on perçoit le monde par ses sens c'est apprendre à partir de ce que l'on imagine ? représentation des choses sous forme matérielle. Prise de conscience de la transmission des erreurs pdt l'enfance. Ce que l'enfant a appris sert de base à l'homme. Csqce : tout doit porter sur les fondements.
But : fonder la science sur des principes certains, indubitables.
Cela nécessite d'un âge mûr. « Méditations métaphysiques » = certaines formes de la pensée, requiert de la concentration. Solitude et lenteur (méditation longue) dues au cheminement de la pensée. On ne médite que sur des choses essentielles et tenant à l'existence humaine. Méditation d'origine religieuse.
Métaphysique : vient d'Aristote ? textes rassemblés sous le titre « Métaphysique ». c'est ce qui se situe au-dessus de la physique. Physique = physis, nature, càd au-dessus de la science qui étudie les faits matériels. Science des premiers principes de la connaissance. Chez Descartes, ce 1° principe est le cogito. Chez Aristote: principes de la logique.
Doute lui-même : métaphysique ? doute naturel. Le doute va porter sur les 1° principes. Ces méditations demandent un esprit libre. Doute systématique = destruction de tout. Or impossible de douter de tout. Il faut identifier le douteux au faux (méthode). Tout ce qui relève d'un moindre doute ne nous intéresse pas.
Csqce : D. va tenter de porter le doute le plus loin qu'il pourra et c'est en quoi le doute est métaphysique. Cela devient hyperbolique. Pour voir si qqch résiste à ce doute extrême.
Ce qu'il y a de plus douteux est la perception sensible. Nous nous attaquerons aux fondements de la