Premier contact avec le droit
1) L'articulation principale retenue par l'auteur pour structurer son propos est qu'il que ce n'est pas du côté de la matière enseignée qu'il faut chercher le but, mais du côté de ceux auxquels on enseigne. Je pense que l'auteur à raison parce que en effet, même si c'est l'enseignant qui nous enseigne nos savoir, il ne faut pas oublier que nous sommes là, à apprendre.
2) La connaissance ne semble pas avoir une place importe dans l'enseignement du droit. En effet, d'après le texte, le droit d'aujourd'hui n'est pas le droit de demain. En effet, le droit change, évolue et se transforme. Certains droit sont remplacés et d'autre abrogés. Cependant, il est normal d'exiger de l'étudiant une connaissance précise du Code ( c'est-à-dire la façon d'utiliser le Code ) car cette connaissance lui servira toute sa vie.
La culture permet d'avoir des connaissance à un niveau où la mémoire est impuissante si intelligence. L'auteur vise par là, dans chaque discipline, les catégories de base, les notions fondamentales qui sont les matériaux de toute législation et de toute réglementation, et qui permettent, dès lors, de les comprendre. Ainsi, la culture à une place très importante dans l'enseignement du droit.
L'aptitude que l'enseignement du droit devrait principalement chercher à développer chez l'étudiant est l'acquisition d'une méthode de pensée c'est à dire apprendre à l'étudiant à bâtir le raisonnement, à tracer le chemin qui, à partir des données concrètes, débouchera sur la solution juste.
3) L'auteur distingue trois catégories de disciplines enseignées aux étudiants en droit. La première est le " corps de bataille " ; il s'agit des enseignements traditionnels portant sur les diverses branches du droit positif ( droit civil, droit commercial, droit administratif, droit constitutionnel … ). La liste englobe la quasi-totalité des disciplines juridiques. La seconde catégorie réunirait les disciplines qui prétendent, non