Présentation d’Avatar Bonjour, nous allons vous présenter un passage du chapitre 9 du récit Avatar, c’est un récit fantastique de Théophile Gautier. Il est né le 30 août 1811 et décédé le 23 Octobre 1872. Il était de nationalité française. Son récit avatar est a été publier pour la première fois en 1856.Avatar au sens propre signifie chacune des incarnations du dieu Vishnou, dans la religion hindouiste. Cependant, au sens figuré Avatar signifie la transformation et la métamorphose.Mise en situation …afficher plus de contenu…

En effet, elle avait raison, car Octave et Olaf était en fait chez cherbonneau pour procéder à l’avatar et donc il ne pouvait pas penser à elle. En faisant plus attention, elle remarque dans les yeux d’Ocatve Labinski, qu’il n’y a pas le ressentit d’amour pur et de passion comme dans son regard habituel. La comtesse Prascovi se sent pour la première fois vue comme une femme vulgaire et désirer que pour sa beauté à l’égard de son époux. Elle sentait que quelque chose d’anormale c’était passer mais elle ne savait pas quoi. Elle commençait à se demander si son mari n’avait il pas une femme au près de lui. Prascovi est agitée, irrité et nerveuse, elle a l’impression d’être folle mais au fond elle savait qu’il y avait une part de …afficher plus de contenu…

Le deuxième axe de lecture est « comment la comtesse réagit face à la rencontre entre elle est Octave Labinski ? ». La comtesse réagit face à la rencontre de manière négative, c’est-à-dire avec mécontentement, nervosité et surtout de gros doute. Plusieurs événements montrent ceci. A la page 291 lorsque Prascovie pense « Prascovie ne reconnaissait pas dans les yeux d’octave-Labinski l’expression ordinaire des yeux d’Olaf celle d’un amour pur, clame, égal, éternel comme l’amour des anges». Nous pouvons voir que la comtesse remarque que quelque chose ne va pas, un sentiment étrange la tourmente. L’amour sincère et éternel qui unissent la comtesse et Olaf Labinski ne se voit pas dans le regard du faux comte et donc cela lui fera se poser beaucoup de question jusqu’à même douter de l’identité et du comportement de son soi-disant mari. De plus, à la page 292 au premier paragraphe « Une terreur secrète l’envahissait comme si elle eût été en présence d’un danger inconnu », la