Prestige des textes polémiques
On peu noter tout d’abord le prestige des textes polémiques dans leur capacité à marquer les esprits et celle de faire réfléchir. La provocation du débat suscite chez le lecteur une réflexion accrue qui lui donne la possibilité, grâce à différents point de vue sur un sujet, de se faire sa propre opinion, de juger par lui-même ce qu’il prétend être juste et faux. L’exemple des trois textes du corpus (Erasme Montaigne et Rousseau) soulève la même idée : faut-il donner une instruction aux enfants ? La confrontation de ces trois textes permet en même temps de diffuser un enseignement « savoir par cœur n’est pas savoir » de Montaigne et d’opposer des idées donc faire naitre un débat.
Par des moyens stylistiques chaque auteur cherche à mettre de son coté l’avis du lecteur. Il chercher à capter l’attention de ce dernier par une argumentation soutenue et structurée. Prenons l’exemple de la fable de la Fontaine intitulé Le pouvoir des fables dans laquelle il explique l’importance de la forme que l’on donne au discours.
L’étude des différentes œuvres étudiés, faisant parties du mouvement humaniste et celui des Lumières, des périodes durant lesquelles les hommes ont