Prince ghengi commentaire margarite yourcenar
Le dernier amour du prince Genghi est une nouvelle du recueil Nouvelles Orientale de Marguerite Yourcenar publié en 1938. Genghi, considéré comme le plus grand séducteur d'Inde, à l'aube de sa jeunesse, part en ermitage dans la montagne et s’installas dans une maisonnette. On va étudier l’opposition en tout à sa vie antérieure, un lieu de solitude et d’humilité et l’harmonie entre le paysage et le personnage.
I-Une dernière demeure
Avec la description du lieu de Marguerite Yourcenar, elle nous fait sentir la solitude et l’humilité de l’atmosphère. L’auteur veut insister sur l’idée de la solitude, elle exprime l’idée d’isolement extrême « á atteindre l’ermitage situé en pleine sauvagerie champêtre » ligne 1-2 de la page 62. À la ligne 5 à 7 « La vie dans cette solitude s’avéra plus simple et plus rude» avec un figure de style d’opposition « plus simple et plus rude » elle nous montre l’opposition en tout de sa vie antérieur, « durant sa jeunesse orageuse »c’est-à-dire qu’il a eu une jeunesse terrible au sens figuré, il avait tous ce qu’il pouvait désiré ,et au moment où et écrit « s’avéra » c’est l’apparition de l’humilité du lieu car c’est un lieu simple son rien, seulement la maisonnette et la nature, le vieux Genghi reste sans ses luxe. Marguerite Yourcenar met en évidence que le paysage est en harmonie avec le personnage, à la ligne 12 à 15 « La maisonnette s’élevait au pied d’un érable centenaire ; comme c’était l’automne, les feuilles de ce bel arbre recouvraient son toit de chaume d’une toiture d’or » ça crée l’idée d’une solitude volontaire, l’érable couvre le soleil de la maisonnette donc il y a une atmosphère de mort, obscurité, la couleur jaune du toit et des feuilles s’engage a nous faire voir que c’est l’automne. Le passage parle de l’automne du paysage mais aussi de l’automne du personnage, il