Princesse de clèves, scène de l'aveu
», périphrase pour parler de la passion et ainsi la rendre responsable de sa conduite.L5 « craindrais », elle rend la passion dangereuse L8, son amour pour le duc de Nemours est évoqué par le biais d’un euphémisme : « des sentiments qui vous déplaisent …afficher plus de contenu…
L16/18 champs lexical de la souffrance : « affliction », « violente » (L16), « le plus malheureux » (L18)
Il correspond malgré tout à l’idéal de l’honnête homme du 17ème siècle, qui se conforme aux lois de la vertu. Il finit par demander lui-même pardon à sa femme L15 : « pardonnez ».
L 17/18 Il reconnait le caractère sincère et admirable de l’aveu de la PDC et le salue avec une hyperbole « Vous me paraissez plus digne d’estime et d’admiration que tout ce qu’il n’y a jamais eu de femmes au monde ». L19 il utilise l’expression « la passion » pour parler de ses sentiments.
L 21/22/23 « Et qui est-il, madame, cet homme heureux qui vous donne cette crainte ? Depuis quand vous plaît-il ? Qu’a-t-il fait pour vous plaire ? Quel chemin a-t-il trouvé pour aller à votre cœur ? », quatre modalités interrogatives qui trahissent le désespoir et la jalousie du