Privatisation De La SAQ
Privatisation de la SAQ : bonne ou mauvaise idée?
La privatisation de la SAQ permettrait de rembourser une partie de la dette
Samuel Prévost
La privatisation de la Société des alcools du Québec, qui perçoit un dividende d’un milliard de dollars et 565 millions de dollars sur la taxe de l’alcool au gouvernement, aiderait à rembourser la dette dans le Fond des générations.
Depuis la libération de des ventes d’alcools du gouvernement en Alberta, il y a de cela 20 ans, le sujet ne cesse de refaire surface dans l’actualité. Cette grosse source de revenu, diminuerait davantage la dette si le gouvernement québécois sans libèrerait, selon de jeunes libéraux de la commission jeunesse du Parti libéral. M. Couillard pourrait encore y retirer des bénéfices avec une taxe sur l’achat d’alcool. «Dans un commerce libéralisé d'alcool, l'État est toujours en mesure de collecter ses revenus, comme c'est le cas en Alberta où les autorités publiques imposent une taxe en fonction de la teneur en alcool de chaque boisson vendue.» (LA COMMISSION POLITIQUE JEUNE DU MONTRÉAL MÉTROPOLITAIN 2014) De cette façon, la vente aux entreprises privées allègerait la dette parce que le gouvernement en tirerait un « double profit », soit le montant de la vente et l’argent qu’il reçoit une taxe sur l’alcool. Cette taxe servirait aussi à contrer efficacement les problèmes associés à la consommation abusive d'alcool, soit en quelques sortes, de la prévention. Présentement, en Alberta, il y a la moitié moins d’habitants qu’au Québec et celle-ci réussi à faire un profit de 730 millions alors qu’ici un milliard de dollars. (COUTURE 2014)
Plus que le remboursement En plus de payer le montant que doit le Québec, nous pourrions voir l’apparition d’une grande diversité de produits sur le marché. En Alberta, suite à la privatisation du secteur de la vente d’alcool, plus de 15 718 nouveaux produits alcoolisés ont apparus sur le plancher public. Aussi, le nombre de détaillants dans ce