Hugo Bachand-Brunet, Diego Rojas, David Onsow et Robert Ciordas
Initiation pratique à la méthodologie des sciences humaines
63224

Problématique

Travail présenté à
Monsieur Vincent Roy

Département des sciences humaines
Collège Ahuntsic
8 mars 2011
Table des matières

Définition du problème 3

Importance du problème 3

État de la question 5

Hypothèse 9

Bibliographie 10

Définition du problème

Tout d’abord, la malbouffe est le nom qui désigne la nourriture qui est jugée de mauvaise qualité sur le plan diététique, car elle contient peu de valeur nutritive, de fibres, de vitamines et de minéraux. Au contraire, la malbouffe contient une valeur élevée en calorie, en sodium, en gras saturé et trans, en sucre et en cholestérol. Cette forme de nourriture est jugée malsaine puisqu’elle contribue à l’obésité, au diabète, aux maladies cardiovasculaires, à certains types de cancers et même à la dépression. La malbouffe a vu le jour en Amérique du Nord vers la fin du 20e siècle. Issue d’une société capitaliste et de consommation, la malbouffe répond parfaitement aux critères des Américains, c’est-à-dire, qu’elle comble la faim rapidement. Ce phénomène, maintenant très répandu et ancrer dans les habitudes de vie des gens, a contribué à changer la façon de s’alimenter. La malbouffe est aussi communément appelée fast-food, restauration rapide ou encore restauration minute.

Importance du problème

Le véritable fléau de la mauvaise nutrition ou de la surconsommation est sans doute le risque d’obésité, les maladies cardiaques, certains cancers, le diabète et il ne faut pas oublier les dégâts d’ordre psychologique. L’équation est très connue et reste toujours la même : hypertension, cholestérol et présence importante de graisse dans le sang. De plus, l’obésité est, depuis un certain temps, reconnue par l’Organisation mondiale de la santé comme étant un tueur hypocrite. Aussi, pour ce qui est de la création du fait d’être mal dans sa peau,