Procédés litteraires utilisés dans le sonnet "je vis je meurs..." louise labé
● Texte poétique.
II.Genre littéraire. ● Grand genre : poésie. ● Genre : sonnet.
III. Situation d’énonciation. a) Locuteur et destinataire. Locuteur : Forte présence du locuteur, marquée par la forte présence des pronoms personnes et des déterminants de la première personne du singulier. Mais ce locuteur est anonyme (aucun indice, dans le texte, ne permet de deviner l’identité de l’énonciateur, ni de dire si c’est un homme ou une femme). Destinataire : Aucun indice, dans le texte, ne permet d’identifier un destinataire.
IV. Thème(s) du texte. Les tourments causés par l’amour.
V. Les figures de style. a) Les figures d’insistance. ● Anaphore : « Je vis, je meurs : je me brûle et me noie, / J’ai chaud extrême en endurant froidure » (vv. 1-2). ● Hyperbole : « je meurs » (v. 1) ; « je me brûle » (v. 1) ; « me noie » (v. 1) ; « chaud extrême », v. 2 ; « trop molle », v.3 ; « trop dure », v. 3 ; « grief tourment », v.6 ; « je sèche » (v. 8) ; « je verdoie » (v. 8).
b) Les figures d’opposition. ● Antithèse : « Je vis » (v. 1) / « je meurs » (v. 1) ; « je me brûle » (v. 1) / « me noie » (v. 1) ; « chaud extrême » (v. 2) / « froidure » (v. 2) ; « trop molle » (v. 3) / « trop dure » (v. 3) ; « grands ennuis » (v. 4) / « joie » (v. 4) ; « je ris » (v. 5) / « je larmoie (v. 5) ; « plaisir » (v. 6) / « tourment » (v. 6) / « s’en va » (v. 7) / « à jamais il dure » (v. 7) ; « je sèche » (v. / « je verdoie (v. 8) ; « plus de douleur » (v. 10) / « hors de peine » (v. 11) ; « joie » (v. 12) / « malheur » (v. 14).
c) Les figures d’équivalence.
● Métaphore : « je meurs » (v. 1) ; « je me brûle » (v. 1) ; « me noie » (v. 1) ; « je sèche » (v. 8) ; « je verdoie » (v. 8). ● Personnification : « Amour » (v. 9)
VI. Les figures de son. ● Allitérations en r et, d’une façon plus générale en liquides (r + l), dans tout le texte : « Je vis,