Prologue gargantua
Prologue: Contrat davantage qu'informer le lecteur au seul rpofit du rire et du plaisir de la lecture.
Interroger le prologue, figures de l'auteur mis en jeu.
Art du bonnimenteur, qui font croire à la qualité des produits qu'ils vendent: médecine miraculeuse par exemple;
I) Le genre du prologue: statut du lecteur et de l'auteur
II) façon dont son discours se rattache du bonimenteur pour rire
III) davantage que la pseudo-vérité et de l'illusion romanesque, le comique avec sa charge satirique.
I)Le genre du prologue: ambiguité générique et énonciative
A) Fonction paratextuelle du prologue: ce n'est pas une préface
-en dehors du texte: futur "je vous raconterai" et le texte est évoqué de l'extérieur par l'auteur. Sur 9 paragraphe, 7 sont sur le texte précédent, et non sur le texte à venir!
Un prologue n'est pas une préface: le textuelle se mêle au paratextuel.
Le terme de préface, (praefari= dire avant) existe à l'époque: parler d'abord de qqchose, préambule (praefactio) texte qui se comporte comme une épître au lecteur: le rassurer, le mettre dans de bonnes dispositions pour sa lecture. Captatio benevolentiae. On affecte une posture de modestie, humilité.
Prologus, c'est différent: discours avant et à l'origine dans le théâtre grec c'est ce qui précède la première entrée du choeur.
Chez Euripide -> monologue dans lequel on explicite l'origine de l'action.
Prologue dans le théâtre latin, va devenir un pers ambiguë qui est en dehors du texte et qui s'adresse au public.
Fonction extra textuel, et en même temps intra-théâtral.
Il reste un pers, il joue, il a une mise en scène et est caractérisé par son costume. Existe comme personnage théâtral.
Le prologue, à la différence de la préface, fait déjà partie du texte et relève d'une énonciation différente de celle qui va suivre, place particulière.
Pas comme la préface, pas forcément de diplomatie. A la fin de l'Avis au lecteur, de Montaigne qui menace presque le