Prologue
Les sciences en général ont connu un essor considérable, durant le XIXe et le XXème siècles. Les observations scientifiques et les savoirs technologiques cumulés ont enrichi le corpus privilégié des académies. Les idées fondamentales tirées de l’expérimentale ont engendré des conceptions nouvelles du monde. Elles ont bouleversé les mentalités, réformées des dogmes établis. Elles ont par la forte constatation des épreuves passées par la démonstration et les logiques évidentes, étayé des thèmes favoris à la philosophie, à la métaphysique et à la spiritualité des êtres. Des questions comme :
D’où venons-nous ? Où allons-nous ? Sommes- nous seuls dans l’univers ? Sont devenues des questions récurrentes à la science. La quête du « comment » a fini par rejoindre les grandes interrogations du « pourquoi » des choses. Ainsi, la physique quantique qui hier s’imprégnait du monde corpusculaire pour comprendre le monde des étoiles, a fini par jalonner des idées du probable et de l’approximative dans l’immensité des cieux. Des incertitudes qui ont cependant irrité les physiciens de la relativité. Einstein, qui jadis ne voyait pas d’un bon œil la philosophie quantique, s’était laissé dire que:
- « Dieu ne jouait pas aux dés ». Une idée jetée au siècle dernier sur le pavé de la spéculation a fait couler bien d’encre chez nos contemporains lettrés, journalistes et savants.
Ne dit-on pas que le hasard fait bien les choses ! Un hasard déterminé ou pas, a rendu la physique quantique prolixe pour son arrangement des choses. Elle a de sa prospection du monde corpusculaire, formulée une thématique qui érige des lois. Des équations quantifiées qui ouvrent, au sens philosophique, un champ favori à la didactique des éthiques et aux préceptes religieux. Que nous les admettons ou pas, certains axiomes mathématiques et physiques se relayent pour donner une description qui conforte les enseignements religieux.
Des querelles entre hommes de science ont conduit la