Préface poèmes a Lou
Il rencontra Louise de Coligny-Chatillon en 1914 à Nice. Après une énième rebuffade il partit s’engager dans l’armée française et fut envoyé à Nîmes où elle le rejoignit quelques fois. Mais elle refusa de s’y installer car elle avait une autre relation avec un homme appelé « Toutou » par Guillaume Apollinaire. Il la revit deux fois durant de brèves permissions à Nice.
Leur dernière entrevue eut lieu à Marseille et n’eut aucune suite. Il partit donc au front.
Guillaume Apollinaire, à travers ses poèmes, ses Calligrammes et autres œuvres fut un précurseur du mouvement surréaliste car il cherchait à libérer sa poésie des contraintes et il fit partie du mouvement symboliste.
Le recueil de poèmes que je vais vous présenter évoque : la guerre, l’amour pour Lou, la nature, l’angoisse de la mort associée à celle de la rupture. Apollinaire mêle harmonieusement amour et désespoir à travers des mots et des phrases souvent tout simples et très touchants.
Le poème V a retenu mon attention par sa brièveté et l’émotion forte qu’il transmet.
Le poème XIII «La mésange» m’a aussi beaucoup plu car il dégage un sentiment de trop peu, on voudrait en savoir plus.
J’ai choisi le poème XXXI car il est différent.