Préparation
Posted by grantseekermonthly ⋅ July 4, 2013 ⋅ Leave a Comment
Filed Under collecte de fonds, rémunération
Pour de nombreux organismes de bienfaisance, la fonction de collecteur de fonds principal est devenue une « porte tournante ». De plus, selon le récent rapport de CompassPoint, UnderDeveloped: A National Study of Challenges Facing Nonprofit Fundraising, cette tendance ne manifeste aucun signe d’affaiblissement.
CompassPoint a révélé que la moitié des directeurs du financement prévoient quitter leur poste dans deux ans ou moins. Cette étude n’est plus la seule à constater ce phénomène. Dans un autre rapport, Penelope Burke a constaté que les collecteurs de fonds restent en moyenne 16 mois dans un emploi.
Le coût élevé de cette rotation
Pourquoi cette question devraitelle vous préoccuper? Si le taux de rotation du personnel de votre organisme est élevé, c’est un trou métaphorique qui crée une fuite de dollars bien réels.
Les coûts entraînés directement par le remplacement d’un collecteur de fonds sont notamment les congés accumulés et l’annonce du poste à pourvoir. Les coûts indirects peuvent être beaucoup plus élevés. Ces derniers comprennent le temps consacré au processus d’embauche et l’appui des collègues et la formation qu’ils dispensent et – le coût le plus important, mais qu’on oublie souvent – la baisse de la productivité. Il faut à un collecteur de fonds expérimenté de trois à six mois pour travailler à pleine capacité. Il peut falloir aux collecteurs de fonds moins expérimentés, occupant des postes de première ligne, sans responsabilité de gestionnaire, 12 mois avant de parvenir à la productivité de leur prédécesseur.
Le montant de ces frais s’élève rapidement. Burke estime que le coût direct et indirect du remplacement du personnel de la collecte de fonds s’élève au chiffre impressionnant de 127 650 $. Pour atténuer ces coûts, la